Distorsions cognitives : un outil pour l’évangélisation ?

Et si notre manière de voir le monde était en cause ? Lorsqu’on évoque la thématique du témoignage, de l’engagement, l’image de l’Eglise et de la paroisses des processus de représentations sont à l’œuvre. Le langage traduit des observations teintées de sentiments et d’interprétation. Pour une part, notre reconstruction (souvent inconsciente) de la réalité joue un rôle dans la manière d’engager le dialogue, de forger des relations, de traduire une émotion.

L’approche consiste non pas à agir sur la réalité, mais sur ses représentations. On ne peut éviter de vérifier que les Eglises se vident, mais on peut donner un sens très différent à ce constat. Il peut conduire à l’action de ceux qui perçoivent le défi et s’ouvrent à la possibilité de trouver de nouvelles pistes. Il peut aussi conduire à l’immobilisme devant l’ampleur de la tâche ou les échecs répétés.

Par le biais d’un article court et percutant, il est possible de découvrir les 10 distorsions cognitives les plus fréquentes. Chacune peut faire l’objet d’un échange et d’un travail en solo ou en groupe.

L’article sur le blog d’Oliver Kesavjee

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